29 septembre 2017
Repose-toi cette nuit, Kinshasa ma belle.
Repose-toi ville épuisée de remous sans fin. Etends ton lit pour oublier le calvaire des jours sans nombre quotidiens. Que la nuit des silences soit longue pour assoupir le fardeau du théâtre noir des taximen et du paradis des égarés. Pose, ne fut-cette...